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Quand Finira le soir,
je m’en irai à Pied
Tu es ce qui me tue, tuer ce qui me plaît !
De passion mon cœur rue, pourtant tu m’as défait…
Les flûtes du Mistral des cieux enfarinés
Lèvent de moi le voile d’obscures pensées…
Hypocrite méprise ! Succube déjantée !
Adieu tes traîtrises ! A moi la liberté !
Mais le miroir sale, du reflet de ma vie
Renvoie l’image pâle, de ton regard flétrie…
Le crépuscule danse, d’une gigue endiablée,
Le soleil chante, pour l’étoile du berger.
Ce n’est pas au-revoir, plutôt à jamais.
Quand finira le soir, je m’en irai à pied.
Dorian Clair | 2010
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